OCP, TMSA, Ithmar… Au Maroc, les bons et les mauvais élèves du public
Quand certains établissements et entreprises publics marocains enchaînent les années bénéficiaires, d’autres font grise mine, voire traînent l’image de « canards boiteux ».
![Station tête du Slurry Pipeline d’OCP, à Khourigba, en 2019. © Fayssal Zaoui/IMAGEEXPERIENCE.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5750x0.5718/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/11/17/jad20231117-eco-maroc-entreprises-publiques-ocp.jpg)
Station tête du Slurry Pipeline d’OCP, à Khourigba, en 2019. © Fayssal Zaoui/IMAGEEXPERIENCE.
OCP, CDG, TMSA, Royal Air Maroc… Au Maroc, seules certaines « stars » du portefeuille public font parler d’elles dans les médias. Pourtant, il existe pas moins de 227 établissements et 45 sociétés anonymes à participation directe du Trésor. De l’infrastructure à la finance en passant par l’agriculture, le tourisme ou encore l’énergie, ces structures interviennent dans des secteurs aussi sensibles que stratégiques pour le royaume.
Plus de 30 milliards d’euros de chiffre d’affaires
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