Ce qui va changer après la fusion des organisations du patronat camerounais
« Jeune Afrique » a eu accès en exclusivité aux documents qui devraient être portés à la connaissance des adhérents de la nouvelle organisation patronale du pays lors de son assemblée générale constitutive, prévue le 14 décembre.
![L’actuel patron du Gicam, Célestin Tawamba. © Max MBAKOP pour JA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5748x0.3270/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/11/22/jad20231122-conf-cameroun-gicam.jpg)
L’actuel patron du Gicam, Célestin Tawamba. © Max MBAKOP pour JA
Le 14 décembre prochain, les patrons camerounais se réuniront à Douala, afin de donner naissance à leur nouvelle organisation, après la dissolution de l’actuelle. Ils adopteront de nouveaux statuts et règlements intérieurs, et mettront en place une instance transitoire d’ici aux élections qui devraient être organisées trois mois plus tard, donc entre février et mars 2024.
L’épineuse question du droit de vote
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Les fidèles d’Abdourahamane Tiani, le général à l’épreuve du pouvoir nigérien
- Dans le viseur de la justice de la RDC, Nicolas Kazadi s’envole pour Paris
- Élections législatives françaises : en Afrique, la gauche sort vainqueur du premier tour
- Comment réveiller le Gabon ?
- Léna Tall Faye, la Sénégalaise qui s’est construit un empire dans l’assainissement