Au Maroc, les défis de la reconstruction post-séisme
La reconstruction des lieux frappés par le séisme de septembre place les autorités face à un dilemme. Faut-il rebâtir au plus vite au risque de bétonner, ou bien prendre le temps de la réflexion et respecter le patrimoine ?
![Ouvriers travaillant à la reconstruction de la mosquée de Tinmel, dans le Haut-Atlas, le 17 novembre 2023. © Paloma Laudet](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/11/23/jad20231123-mmo-maroc-post-seisme-rejpgconstruction-photo3.jpg)
Ouvriers travaillant à la reconstruction de la mosquée de Tinmel, dans le Haut-Atlas, le 17 novembre 2023. © Paloma Laudet
Un champ de ruines : c’est tout ce qu’il reste de nombreux douars du Haut-Atlas marocain, plus de deux mois après le séisme qui a ravagé la région de Marrakech-Safi dans la nuit du 7 au 8 septembre. Là-bas, dans les montagnes, pelleteuses et rouleaux-compresseurs ne sont pas encore passés, si ce n’est pour réparer les tronçons de route les plus touchés.
Bien s’informer, mieux décider
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