Du Maroc à la France, le fléau du Lyrica, l’antiépileptique devenu « drogue du pauvre »
Consommé abusivement dans un cadre récréatif ou par dépendance, ce puissant médicament est détourné pour ses effets euphorisants et hallucinogènes. Identifié depuis longtemps en Algérie et en Tunisie, il est de plus en plus populaire auprès de la jeunesse marocaine et parmi les migrants arrivés en Europe.