COP28 : « Sur le fonds “pertes et dommages”, nous sommes encore loin de l’objectif »
Présenté comme l’initiative majeure de la COP28, le fonds « pertes et dommages » est perçu comme un élément transformateur pour les pays en développement, et donc pour le continent. L’éclairage de Yamide Dagnet, experte du climat.
![Inondations dans la région de Keur Massar, au Sénégal, le 20 août 2021. © John Wessels/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/12/13/jad20231213-eco-cop28-banque-mondiale-pertes-dommages.jpg)
Inondations dans la région de Keur Massar, au Sénégal, le 20 août 2021. © John Wessels/AFP
C’est avec beaucoup d’enthousiasme et d’espoir que la COP28 s’est ouverte, à Dubaï, le 30 novembre. Mais c’est dans un état d’esprit nettement plus humble qu’elle s’est achevée, le 12 décembre. Le moteur de cet élan initial a été la création du fonds « pertes et dommages », dès le premier jour de ce grand rendez-vous. « Nous avons écrit une page d’histoire », s’est alors félicité Sultan Al Jaber,
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