Après Marwane Mabrouk, Kaïs Saïed cible le holding tunisien Al Karama
En Tunisie, le récent mandat de dépôt émis contre un ancien dirigeant du holding étatique responsable des biens confisqués de la révolution relance la question de la mauvaise gestion des anciennes sociétés du clan Ben Ali.
![Adel Grar, l’ancien directeur général d’Al Karama Holding, chargé de la cession des sociétés confisquées sous la révolution. © Hichem](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5663x0.3069/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/12/13/jad20231213-mmo-tunisie-al-karama-adelgrar.jpg)
Adel Grar, l’ancien directeur général d’Al Karama Holding, chargé de la cession des sociétés confisquées sous la révolution. © Hichem
Trente ans de prison, c’est ce que risque Adel Grar, l’ancien directeur général d’Al Karama Holding, chargé de la cession des sociétés confisquées sous la révolution. Le 11 décembre, un mandat de dépôt a été émis contre lui pour avoir usé de sa position afin d’obtenir un avantage injustifié (article 96 du code pénal) et pour avoir « disposé indûment des deniers publics ou privés » (article 99). Le
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Les fidèles d’Abdourahamane Tiani, le général à l’épreuve du pouvoir nigérien
- Dans le viseur de la justice de la RDC, Nicolas Kazadi s’envole pour Paris
- Élections législatives françaises : en Afrique, la gauche sort vainqueur du premier tour
- Comment réveiller le Gabon ?
- Léna Tall Faye, la Sénégalaise qui s’est construit un empire dans l’assainissement