Derrière l’accord « historique » de la COP28, la frustration de l’Afrique

Le texte final, adopté lors de la Conférence des parties à Dubaï, mentionne pour la première fois une transition « hors des énergies fossiles ». Mais la question des engagements des pays riches pour aider les pays vulnérables a provoqué le courroux des Africains, qui ne sont pas parvenus à faire entendre leur voix. Coulisses.

Photo de clôture de la COP28, le mercredi 13 décembre 2023, à Dubaï. © Kamran Jebreili/AP/SIPA

Photo de clôture de la COP28, le mercredi 13 décembre 2023, à Dubaï. © Kamran Jebreili/AP/SIPA

THAIS-BROUCK_2024

Publié le 13 décembre 2023 Lecture : 3 minutes.

En ce matin du 13 décembre, lorsque Sultan Ahmed Al Jaber frappe le pupitre de son marteau, un tonnerre d’applaudissements envahit la salle du centre de conférence de Dubaï. Qualifié d’historique, le document préparé par le président émirati de la Conférence mentionne, pour la première fois, un sujet jusqu’alors tabou : les énergies fossiles. Le Global stockstake, c’est-à-dire l’accord final,

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

Yann Gwet © MONTAGE JA; DR

La pauvreté, grande oubliée de la COP28 ?

Contenus partenaires