Dans le quotidien des GP, ces coursiers sénégalais de l’informel

Ils sont des centaines à s’envoler plusieurs fois par mois au départ de Dakar. Direction l’Europe, l’Amérique ou le Moyen-Orient pour livrer des colis à des particuliers. Une économie parallèle, que certains souhaiteraient mieux encadrer afin de limiter les risques encourus.

Les lacunes logistiques pour relier le continent africain ont favorisé l’émergence du métier de « GP », qui fournissent une solution économique pour envoyer et recevoir des colis à l’international. © SEYLLOU/AFP

Les lacunes logistiques pour relier le continent africain ont favorisé l’émergence du métier de « GP », qui fournissent une solution économique pour envoyer et recevoir des colis à l’international. © SEYLLOU/AFP

THEO-DU-COUEDIC_2024

Publié le 17 décembre 2023 Lecture : 6 minutes.

Attablé dans un restaurant du centre commercial de l’hypermarché Auchan Mermoz, devant son troisième café de la matinée, Alioune Gueye n’est pas en forme. « J’ai perdu 13 kilos au cours de ces deux derniers mois, j’ai fait toute une batterie de tests à la clinique, j’ai des douleurs un peu partout. Dans ce métier, si tu n’es pas en bonne santé, tu ne peux pas travailler. »

Pâte d’arachide et

Bien s’informer, mieux décider

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