Dans le quotidien des GP, ces coursiers sénégalais de l’informel
Ils sont des centaines à s’envoler plusieurs fois par mois au départ de Dakar. Direction l’Europe, l’Amérique ou le Moyen-Orient pour livrer des colis à des particuliers. Une économie parallèle, que certains souhaiteraient mieux encadrer afin de limiter les risques encourus.
Attablé dans un restaurant du centre commercial de l’hypermarché Auchan Mermoz, devant son troisième café de la matinée, Alioune Gueye n’est pas en forme. « J’ai perdu 13 kilos au cours de ces deux derniers mois, j’ai fait toute une batterie de tests à la clinique, j’ai des douleurs un peu partout. Dans ce métier, si tu n’es pas en bonne santé, tu ne peux pas travailler. »
Pâte d’arachide et
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Déjà abonné ?
Connectez-vous
la suite après cette publicité
Les plus lus
- La Côte d’Ivoire, plus gros importateur de vin d’Afrique et cible des producteurs ...
- Algérie : Lotfi Double Kanon provoque à nouveau les autorités avec son clip « Ammi...
- Le livre « Algérie juive » soulève une tempête dans le pays
- Au Maroc, l’UM6P se voit déjà en MIT
- La stratégie de Teyliom pour redessiner Abidjan