Daouda Sembène : « L’essentiel des pays africains présentent un risque de défaut sur leur dette en 2024 »

Dettes, réformes de l’architecture financière internationale, finance climatique… Pour Daouda Sembène, fondateur d’AfriCatalyst Global Development Advisory, et Martin Kessler, directeur exécutif de Finance for Development Lab, les grands mouvements initiés en 2023 dans la finance du développement pourraient se concrétiser l’an prochain. Interview croisée.

Martin Kessler et Daouda Sembène. © MONTAGE JA :FDL ; DR

Martin Kessler et Daouda Sembène. © MONTAGE JA :FDL ; DR

THAIS-BROUCK_2024

Publié le 1 janvier 2024 Lecture : 6 minutes.

Si 2023 a été l’année de la prise de conscience, 2024 sera-t-elle celle de l’action ? Au fil des mois, les grands rendez-vous de la finance du développement ont tous dressé le même constat : dans un contexte de raréfaction de l’accès au crédit, il faut faire plus et plus vite, garder en ligne de mire les objectifs de développement durables (ODD) fixés en 2015 par les Nations unies et anticiper les

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