Pourquoi la fintech nigériane Tingo se retrouve sous les feux du régulateur boursier américain
Les accusations lancées par la Securities and Exchange Commission (SEC) à l’encontre du Nigérian Dozy Mmobuosi et de ses sociétés attestent du rôle primordial des vendeurs à découvert. Qui auraient décelé la fraude avant tout le monde.
![Le siège de la Securities and Exchange Commission (SEC) à Washington, D.C., le 12 mai 2021. © ANDREW KELLY/REUTERS](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/12/20/jad20231220-eco-tingo-sec.jpg)
Le siège de la Securities and Exchange Commission (SEC) à Washington, D.C., le 12 mai 2021. © ANDREW KELLY/REUTERS
Le 18 décembre, la Securities and Exchange Commission (SEC – organisme américain de régulation des marchés financiers) a accusé Dozy Mmobuosi et trois de ses sociétés – Tingo Group, Agri-Fintech Holdings et Tingo International Holdings – d’avoir participé à un « système pluriannuel visant à gonfler les indicateurs de performance financière de ces sociétés et de leurs principales filiales
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