Au Maroc, le dessalement de l’eau ne coule pas de source

L’épuisement des réserves d’eau font craindre le pire dans le royaume où, en ce mois de décembre, le retard des précipitations a ravivé le débat autour du besoin d’installer d’urgence des stations de dessalement de l’eau de mer. Y compris sur le terrain politique.

Barrage d’al-Massira dans le village d’Ouled Essi Masseoud, à quelque 140 kilomètres au sud de Casablanca, le 8 août 2022. © FADEL SENNA/AFP

Barrage d’al-Massira dans le village d’Ouled Essi Masseoud, à quelque 140 kilomètres au sud de Casablanca, le 8 août 2022. © FADEL SENNA/AFP

Publié le 21 décembre 2023 Lecture : 7 minutes.

C’est une solution reconnue comme potentielle par les pouvoirs publics marocains pour sécuriser l’eau potable et soutenir celle d’irrigation. À l’ouvrage, le ministre de l’Équipement et de l’Eau, Nizar Baraka, a annoncé le 4 décembre au parlement la construction de seize usines de dessalement de 2024 à 2030.
Pour une capacité totale de 1,49 milliards de m3/an, ces seize unités sont prévues sur

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