Pour Cyril Ramaphosa, famille et politique ne font pas bon ménage
Le président sud-africain, qui espère être réélu à l’issue des élections générales de 2024, se montre très discret sur sa vie privée. Plus question de donner prise au moindre scandale, comme cela a pu être le cas dans le passé.
![Le président sud-africain Cyril Ramaphosa et son épouse, Tshepo Motsepe, au Cap, le 20 juin 2019. © Photo by Kim Ludbrook / POOL / AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.3737x0.2754/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/01/16/jad20240116-pol-ramaphosa.jpg)
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa et son épouse, Tshepo Motsepe, au Cap, le 20 juin 2019. © Photo by Kim Ludbrook / POOL / AFP
Si ce n’était le prompteur, c’est l’Afrique du Sud qu’il regarderait dans les yeux. Cyril Ramaphosa aime s’adresser à ses concitoyens dans le cadre d’allocutions télévisées. « Fellow South-Africans » (« Mes chers Sud-Africains »), commence-t-il à chaque fois. Pendant l’épidémie de Covid-19, la presse comparait ses interventions récurrentes et le ton paternaliste de ses discours à des réunions de
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