Entre l’exil et Touadéra, Henri-Marie Dondra et la « troisième voie »
Après une rentrée politique remarquée à Bangui à la fin de 2023, l’ancien Premier ministre centrafricain entend s’affirmer comme une alternative crédible au président et à une opposition contrainte à quitter le pays. Rencontre.
![Henri-Marie Dondra, ancien Premier ministre de Centrafrique, ici en juin 2021 à Bangui. © Barbara DEBOUT/AFP.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5900x0.3159/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/01/02/jad20240102-ass-rca-itv-henri-marie-dondra-scaled.jpg)
Henri-Marie Dondra, ancien Premier ministre de Centrafrique, ici en juin 2021 à Bangui. © Barbara DEBOUT/AFP.
Comme souvent lorsqu’il s’agit de politique centrafricaine, notre rencontre avec Henri-Marie Dondra se déroule bien loin de Bangui. À plusieurs milliers de kilomètres de la capitale de Centrafrique, l’ancien Premier ministre a donné rendez-vous à Jeune Afrique dans un hôtel du quartier d’affaires de la Défense, aux portes de Paris.
« J’ai choisi de rester à Bangui »
Henri-Marie Dondra nous
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