Au Maroc, TikTok sur le grill
Des parlementaires appellent à la suppression du réseau social, sinon à la restriction de son utilisation. Les juristes et les professionnels du digital, eux, ont un avis plus pondéré.
![Au Maroc, la question de la suspension de TikTok a été soulevée une première fois au Parlement le 26 décembre 2023 au sein de la Commission de la culture, de l’éducation et de la communication. © Sébastien Bozon/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/01/05/jad20240105-mmo-maroc-parlementaires-interdiction-tiktok.jpg)
Au Maroc, la question de la suspension de TikTok a été soulevée une première fois au Parlement le 26 décembre 2023 au sein de la Commission de la culture, de l’éducation et de la communication. © Sébastien Bozon/AFP
La tendance est quasi planétaire. Des pays comme l’Inde, le Pakistan, l’Afghanistan, ou la Jordanie ont interdit entre 2020 et 2022 l’utilisation de TikTok sur leur territoire. Les raisons évoquées vont du non-respect du droit à la propriété intellectuelle, à l’atteinte aux bonnes mœurs locales. Une volonté régalienne de contrôler l’information.
Dans une moindre mesure, d’autres ont décidé de
Bien s’informer, mieux décider
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