Pétrole : cinq questions pour comprendre le malaise des pays africains de l’Opep
Face aux multiples propositions de réduction de leurs quotas de production, les pays africains peinent à faire entendre leur voix. Certains finissent par claquer la porte du cartel.
![© MONTAGE JA : Leonhard Foeger / REUTERS](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5006x0.1804/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/01/16/jad20240116-decryptage-opep.jpg)
© MONTAGE JA : Leonhard Foeger / REUTERS
LE DÉCRYPTAGE DE JA – En consultation avec les pays membres de l’Opep et les pays producteurs non membres de l’Opep (Opep+), le cartel des pétroliers s’est engagé, en 2024, en faveur de l’unité et de la cohésion pour maintenir la stabilité du marché. Mais, entre le retrait de l’Angola et la décision unilatérale de l’Arabie saoudite de baisser le prix de ses barils vendus en Asie, l’Organisation
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Déjà abonné ?
Connectez-vous
la suite après cette publicité
Les plus lus
- Les fidèles d’Abdourahamane Tiani, le général à l’épreuve du pouvoir nigérien
- Dans le viseur de la justice de la RDC, Nicolas Kazadi s’envole pour Paris
- Élections législatives françaises : en Afrique, la gauche sort vainqueur du premier tour
- Comment réveiller le Gabon ?
- Léna Tall Faye, la Sénégalaise qui s’est construit un empire dans l’assainissement