Chakib Benmoussa : « L’augmentation du salaire net des enseignants devrait être adoptée très bientôt »

Au Maroc, l’année scolaire en cours devait être celle de la réforme de l’éducation nationale. Mais sa mise en place a été perturbée par le long mouvement de protestation des enseignants. Le ministre de l’Éducation nationale revient sur la gestion de la crise et explique sa recette pour mener à bien sa réforme.

Chakib Benmoussa, le ministre de l’Éducation, à Paris, le 23 juillet 2021. © Corentin Fohlen/ Divergence

Chakib Benmoussa, le ministre de l’Éducation, à Paris, le 23 juillet 2021. © Corentin Fohlen/ Divergence

Publié le 18 janvier 2024 Lecture : 8 minutes.

Après des mois de blocage, le gouvernement et les principaux syndicats de l’éducation ont signé, le 10 décembre, un accord « historique » prévoyant une augmentation nette de 1 500 dirhams du salaire de tous les enseignants. Deux semaines plus tard, le ministre de l’Éducation nationale, Chakib Benmoussa, et les centrales syndicales convenaient de réviser de fond en comble le statut unifié des

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

Le ministre marocain de l’Éducation nationale Chakib Benmoussa. © ABDELHAK SENNA / AFP

Crise de l’enseignement au Maroc : l’introuvable accord ?

Dans une école coranique au Maroc (XIX-XXe siècles). © Leemage via AFP

Au Maroc, le lourd héritage de l’enseignement public

Contenus partenaires