Après la CAN, la valorisation des stades de Côte d’Ivoire en question
Avec quatre stades construits et deux réhabilités pour la compétition, la Côte d’Ivoire n’a pas lésiné sur les moyens pour se doter d’infrastructures sportives de premier plan. Mais que deviendront-ils au lendemain de la cérémonie de clôture de la CAN ?
![Au stade Alassane-Ouattara d’Ebimpé, lors de la rencontre entre le Nigeria et la Côte d’Ivoire, le 18 janvier 2024. © FRANCK FIFE / AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/01/19/jad20240119-pol-can2024-stade-civ.jpg)
Au stade Alassane-Ouattara d’Ebimpé, lors de la rencontre entre le Nigeria et la Côte d’Ivoire, le 18 janvier 2024. © FRANCK FIFE / AFP
Éviter à tout prix les éléphants blancs. Ce sera aussi l’un des défis de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) qui se tient depuis le 13 janvier en Côte d’Ivoire.
Alors qu’Abidjan a bataillé pour que les stades soient prêts à temps et que les autorités ivoiriennes, la Confédération africaine de football (CAF) et le Comité d’organisation de la CAN (Cocan) redoublent d’efforts ces derniers jours
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