À la CAN, l’arbitrage ne fait plus débat
Ces dernières années, plusieurs phases finales de la Coupe d’Afrique des nations ont été émaillées de polémiques plus ou moins virulentes. Ce qui n’est, pour l’instant, pas le cas de l’édition ivoirienne en cours.
![L’arbitre éthiopien Bamlak Tessema Weyesa durant le match de la CAN 2024 entre la Gambie et le Cameroun au stade de la paix, à Bouaké, en Côte d’Ivoire, le 23 janvier 2024. © KENZO TRIBOUILLARD / AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.6815x0.4525/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/01/26/jad20240126-can2024-les-arbitres.jpg)
L’arbitre éthiopien Bamlak Tessema Weyesa durant le match de la CAN 2024 entre la Gambie et le Cameroun au stade de la paix, à Bouaké, en Côte d’Ivoire, le 23 janvier 2024. © KENZO TRIBOUILLARD / AFP
Le premier tour de la 34e édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) s’est achevé le 27 janvier. Depuis le coup d’envoi de la compétition, il est surtout question de beau jeu, de surprises – avec les prestations parfois emballantes du Cap-Vert, de l’Angola ou de la Guinée équatoriale –, de spectacle dans les tribunes et d’une ambiance générale largement positive. Mais presque jamais
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