RDC, Comores, Algérie… Qui sont les mauvais élèves de l’industrie maritime mondiale ?
Tandis que certains pays d’Afrique se trouvent en position délicate dans le classement de l’International Chamber of Shipping, d’autres affichent de meilleures performances. Jeune Afrique fait le point.
![Depuis 2014, l’armateur MSC gère le port autonome de Lomé. © Zhang Gaiping/Xinhua/REA.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.4700x0.6044/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/01/26/jad20240126-eco-mauvais-eleves-pavillons-africains.jpg)
Depuis 2014, l’armateur MSC gère le port autonome de Lomé. © Zhang Gaiping/Xinhua/REA.
Pour la RDC, le bilan est sans appel. Avec seulement 7 indicateurs positifs sur 19, le pays se positionne en queue de peloton dans le classement de l’International Chamber of Shipping (ICS)* pour l’année 2023. Ce classement, élaboré par un consortium d’armateurs qui représentent environ 80 % de la flotte commerciale mondiale, analyse les performances des États sur leurs différents pavillons
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