Au Maroc, l’USFP rêve de faire tomber Akhannouch
Premier parti d’opposition – avec seulement 34 sièges sur 395 –, l’Union socialiste des forces populaires table sur une improbable démission forcée du gouvernement. Mais de quels leviers disposent les socialistes face à l’écrasante majorité d’Aziz Akhannouch ?
![Driss Lachgar (USFP), à g., et Nabil Benabdallah (PPS) lors de la réunion conjointe des bureaux politiques des deux partis, le 15 décembre 2023, à Rabat. © Alexandre Chaplier pour JA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/01/30/jad20240130-mmo-maroc-parti-usfp-photo2.jpg)
Driss Lachgar (USFP), à g., et Nabil Benabdallah (PPS) lors de la réunion conjointe des bureaux politiques des deux partis, le 15 décembre 2023, à Rabat. © Alexandre Chaplier pour JA
Lourd de conséquences, le dépôt d’une motion de censure contre le gouvernement serait une première depuis la réforme constitutionnelle de 2011. C’est la piste qu’a suggérée l’Union socialiste des forces populaires (USFP) lors du conseil national du parti, le 27 décembre, à Rabat. Son premier secrétaire, Driss Lachgar, a notamment appelé les composantes de l’opposition à « créer les conditions
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