Procès de Pascaline Bongo : « Est-ce qu’on irait corrompre le chauffeur ? »
Accusée de corruption passive d’agent public étranger, la sœur d’Ali Bongo Ondimba s’est exprimée à la barre ce 31 janvier, au troisième jour de son procès. Le verdict devrait être prononcé le 1er février.
![Pascaline Bongo à Paris, lors de son procès, en janvier 2024. © DR](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5099x0.3692/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/02/01/jad20240201-ass-bongo-proces-pascalinebongo.jpg)
Pascaline Bongo à Paris, lors de son procès, en janvier 2024. © DR
Comme tous les jours depuis l’ouverture de son procès pour corruption passive d’agent public étranger, Pascaline Bongo Ondimba n’est pas venue seule. Sa fille et son fils, dont le père n’est autre que l’ancien candidat à l’élection présidentielle Jean Ping, ont assisté à toutes les audiences. Franck Ping, leur demi-frère né d’un premier mariage de l’ex-président de la Commission de l’Union
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