Le départ de l’AES de la Cedeao crée un vent de panique et tend le marché régional
L’annonce du retrait du Mali, du Burkina Faso et du Niger suscite l’inquiétude des investisseurs ouest-africains sur le marché financier de l’Uemoa. Explications.
![Le siège de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), à Ouagadougou. Le siège de l’Union économique et monétaire ouest-africaone (UEMOA)
Ouagadougou
© Ahmed Ouoba pour JA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/02/01/jad20240201-eco-cedexit-cedeao-reaction-patrons-uemoa.jpg)
Le siège de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), à Ouagadougou. Le siège de l’Union économique et monétaire ouest-africaone (UEMOA) Ouagadougou © Ahmed Ouoba pour JA
Incertitude, défiance… Le retrait de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), décidé unilatéralement et avec effet immédiat par les trois pays de l’Alliance des États du Sahel (AES), ne passe pas chez les investisseurs. Le Burkina Faso a ainsi été contraint de reporter sine die l’émission simultanée de bons et d’obligations assimilables du Trésor, pour un montant de 35
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