« Sylvia et Noureddin Bongo ont subi des traitements cruels et dégradants »

François Zimeray, l’avocat français de Sylvia, Noureddin et Ali Bongo Ondimba, affirme ne pas avoir été autorisé à rendre visite à ses clients gabonais. Pour Jeune Afrique, il revient sur les détentions de l’ancien président et de sa famille.

François Zimeray, l’avocat français de Sylvia, Noureddin et Ali Bongo Ondimba. © Ritzau Scanpix/AFP

François Zimeray, l’avocat français de Sylvia, Noureddin et Ali Bongo Ondimba. © Ritzau Scanpix/AFP

JEANNE-LE-BIHAN_2024

Publié le 6 février 2024 Lecture : 7 minutes.

Sur le seul cliché qui est paru d’eux depuis leurs incarcérations respectives, Sylvia Bongo Ondimba et Noureddin Bongo-Valentin ont la mine défaite. L’ancien coordinateur des affaires présidentielles, détenu sur décision du Conseil pour la transition et la restauration des institutions (CTRI) depuis le coup d’État du 30 août 2023, a une barbe inhabituellement fournie et des cernes importants. Sa

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

Brice Laccruche Alihanga, lors de l’interview exclusive qu’il a accordée à Jeune Afrique, à Paris, le 26 janvier 2024. © DR

Brice Laccruche Alihanga : « Les Bongo m’ont envoyé en enfer »

[Série] La chute de l’empire Bongo

La première dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba, à Libreville, le 14 janvier 2017. © GABRIEL BOUYS/AFP

Sylvia Bongo Ondimba, le pouvoir jusqu’à la chute

Contenus partenaires