Au Cameroun, les Ambazoniens accentuent la pression avant le 11 Février
Alors qu’approche la date symbolique du 11 Février, fête nationale et commémoration du référendum de 1961, les groupes séparatistes ambazoniens multiplient actions armées et menaces.
![Des policiers camerounais à Buea, le 3 octobre 2018. © MARCO LONGARI / AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/02/07/jad20240207-ass-cameroun-separatistes.jpg)
Des policiers camerounais à Buea, le 3 octobre 2018. © MARCO LONGARI / AFP
La tension est forte dans la région du Nord-Ouest ce mercredi 7 février. Nicholas Nkongho Manchang, le sous-préfet de Bamenda II, a en effet été kidnappé le 6 février par des individus armés encore non identifiés. Et, s’il a été relâché quelques heures plus tard, les forces de défense du Cameroun sont toujours en alerte, dans un contexte de recrudescence des attaques des séparatistes ambazoniens.
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