Retrait de la Cedeao : pourquoi Bamako et Ouagadougou tentent une sortie « sans délai »
De manière unilatérale, les juntes maliennes et burkinabè ont choisi de se désolidariser des engagements et obligations des pays membres de l’organisation régionale.
![Des partisans de l’Alliance des États du Sahel brandissant des drapeaux du Burkina Faso, du Mali et du Niger célèbrent le départ de l’AES de la Cedeao, à Bamako, le 1er février 2024. © OUSMANE MAKAVELI/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.4821x0.3805/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/02/07/jad20240207-eco-cedeao-aes-mali.jpg)
Des partisans de l’Alliance des États du Sahel brandissant des drapeaux du Burkina Faso, du Mali et du Niger célèbrent le départ de l’AES de la Cedeao, à Bamako, le 1er février 2024. © OUSMANE MAKAVELI/AFP
Avant même d’avoir entamé des négociations sur leurs conditions de sortie de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), Bamako et Ouagadougou se heurtent à l’organisation régionale sur la question du délai de retrait. Dans un communiqué publié le 6 février, le ministère des Affaires étrangères de la junte malienne a donné le ton le premier en annonçant que le Mali se
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