Au Maroc, une vaste campagne de « revenge porn » fait scandale
Depuis quelques jours, des centaines de gigaoctets d’images intimes circulent parmi les internautes. Dans le lot, des « nudes » fuités, mais aussi des images qui seraient issues de comptes, voire de caméras de surveillance, piratés. Sauf que la crédibilité de l’influenceur qui a rendu l’affaire publique est sujette à caution.
Les liens Telegram et Telebox (application de stockage cloud similaire à Google drive) ont d’abord été échangés sous le manteau, avant d’être désactivés. Ils donnaient accès à des dizaines de dossiers hébergés sur le cloud, intitulés en arabe ou en français de pseudonymes, parfois de noms et de prénoms, souvent d’émojis représentant des drapeaux (du Maroc, de l’Algérie, voire des Émirats arabes
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