Les quatre français détenus par Aqmi dans le Sahel « se portent bien »

Les quatre otages français enlevés en septembre 2010 au Niger par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et détenus dans le Sahel « se portent bien » et les « négociations se poursuivent » pour leur libération, a déclaré dimanche un médiateur à l’AFP.

Des soldats nigériens près d’Arlit, en septembre 2010. © Archive/AFP

Des soldats nigériens près d’Arlit, en septembre 2010. © Archive/AFP

Publié le 28 août 2011 Lecture : 1 minute.

"Nous avons eu il y a quelques jours les ravisseurs. Ils nous ont affirmé que les otages se portaient bien. Nous n’avons pas à douter de cela", a-t-il affirmé.
Il n’a pas précisé la nature et la date du contact qu’il a eu avec les ravisseurs.

"Je dirai que les négociations se poursuivent. C’est déjà bon signe", a-t-il répondu à une question sur les tractations pour l’élargissement des otages.

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Ces quatre hommes avaient été enlevés avec trois autres personnes le 16 septembre 2010 à Arlit, un site d’extraction d’uranium du nord du Niger : au total un cadre du groupe nucléaire français Areva et son épouse, tous deux Français, et cinq employés (trois Français, un Togolais et un Malgache) de son sous-traitant Satom.

Le 24 février, la Française, le Togolais et le Malgache avaient été relâchés.

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