Qu’est-ce que le « capital hybride » de la BAD, ce mécanisme financier qui fait entrer l’institution dans l’histoire ?

En janvier, la Banque africaine de développement a lancé et exécuté avec succès une opération de 750 millions de dollars d’obligations hybrides subordonnées perpétuelles. Une opération phare et inédite. Mais de quoi s’agit-il concrètement ?

Hassatou Diop N’Sele, lors de la cérémonie de signature entre la Banque africaine de développement (BAD) et le Fonds international de développement agricole (Fida), le 3 février 2022. © AfDB Group

Hassatou Diop N’Sele, lors de la cérémonie de signature entre la Banque africaine de développement (BAD) et le Fonds international de développement agricole (Fida), le 3 février 2022. © AfDB Group

YARA-RIZK_2024

Publié le 23 février 2024 Lecture : 4 minutes.

Le siège de la Banque africaine de développement (BAD) situé dans la commune du Plateau, à Abidjan. Le 1er novembre 2019. © ISSOUF SANOGO/AFP
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BAD : l’année de tous les enjeux

À moins d’un an de l’élection du nouveau président ou de la nouvelle présidente qui remplacera le Nigérian Akinwumi Adesina à la tête de la Banque africaine de développement (BAD), Jeune Afrique décrypte et analyse la feuille de route de l’institution pour les quatre années à venir. Stratégies, tractations, portraits, coulisses… Zoom sur les grands défis de ce futur rendez-vous.

Sommaire

Depuis la fin du mois de janvier, la Banque africaine de développement (BAD) dispose d’un nouvel outil qui vient enrichir son arsenal financier : les obligations hybrides subordonnées perpétuelles, ou capital hybride. Mais qu’est-ce qui se cache derrière ce mécanisme au nom peu évocateur ?

Vice-présidente en charge des finances et directrice financière de l’institution, la Sénégalaise Hassatou

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