Au cœur de « Sans famille », prison des déchus de l’ère Bongo
Derrière les murs de la prison centrale de Libreville se côtoient sans se croiser Kelly Ondo Obiang, auteur du putsch manqué de 2019, ainsi que les derniers fidèles de Noureddin Bongo-Valentin et de Brice Laccruche Alihanga. Plongée dans leur quotidien.
![Noureddin Bongo-Valentin, entouré de son épouse, Léa Bongo-Valentin (à gauche), et de sa mère, Sylvia Bongo Ondimba (à droite). © X Noureddin Bongo-Valentin](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/02/26/jad20240226-conf-gabon-noureddin-bongo.jpg)
Noureddin Bongo-Valentin, entouré de son épouse, Léa Bongo-Valentin (à gauche), et de sa mère, Sylvia Bongo Ondimba (à droite). © X Noureddin Bongo-Valentin
Depuis plusieurs mois, la prison centrale de Libreville, surnommée « Sans famille », renferme entre ses murs d’éminents détenus. Le bâtiment principal (« de droit commun ») compte les deux derniers des « BLA Boys » – proches de Brice Laccruche Alihanga, dit « BLA » – incarcérés : l’ancien porte-parole de la présidence Ike Ngouoni Aila Oyouomi et l’ex-patron de Gabon Oil Company Christian Patrichi
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