Au Cameroun, Bruno Bidjang et le tribunal de l’indifférence

Le directeur général de la télévision Vision 4 est de nouveau présenté au juge d’instruction ce 23 février. Le journaliste se défend d’avoir incité à l’insurrection. Mais son sort dépend davantage de la clémence ou non du président Paul Biya.

Le Camerounais Bruno Bidjang, directeur général de la télévision Vision 4, entame sa troisième semaine de détention au SED. © FACEBOOK BRUNO BIDJANG OFFICIEL

Le Camerounais Bruno Bidjang, directeur général de la télévision Vision 4, entame sa troisième semaine de détention au SED. © FACEBOOK BRUNO BIDJANG OFFICIEL

Publié le 23 février 2024 Lecture : 2 minutes.

Régulièrement extrait de sa cellule pour être présenté à un juge d’instruction, Bruno Bidjang entame sa troisième semaine de détention au secrétariat d’État à la Défense (SED), où il est incarcéré pour « incitation au soulèvement, atteinte à la sûreté de l’État et incitation à l’insurrection ». Ces infractions supposément commises pourraient valoir une peine allant de 10 à 20 ans d’emprisonnement

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