Loi d’amnistie au Sénégal : pourquoi la polémique ne retombe pas

Présenté comme une mesure d’apaisement, ce projet de loi divise au sein de la majorité et de l’opposition. Il est, en outre, rejeté par les ex-détenus politiques comme par les familles des victimes tuées en marge des manifestations.

Hannibal Djim, militant du Front pour une révolution anti-impérialiste populaire et panafricaine (Frapp) à Dakar, le 21 février 2024. © Sylvain Cherkaoui pour JA

Hannibal Djim, militant du Front pour une révolution anti-impérialiste populaire et panafricaine (Frapp) à Dakar, le 21 février 2024. © Sylvain Cherkaoui pour JA

MARIEME-SOUMARE_2024

Publié le 5 mars 2024 Lecture : 7 minutes.

L’ouverture, le lundi 26 février, du Dialogue national a été très suivie dans le pays. Rivés à leur poste de radio ou à leur écran de télévision, les Sénégalais ont écouté Macky Sall avec attention. Ils voulaient savoir ce que le chef de l’État avait à leur dire, près d’un mois après leur avoir annoncé qu’il reportait l’élection présidentielle.

Le jeune Abdoulaye Wade, lui, ne l’a pas écouté

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

Contenus partenaires