Attijariwafa, BoA, Ecobank, UBA… Les banques peu exposées si l’AES sortait de l’Uemoa, selon Fitch
Le Niger, le Burkina Faso et le Mali veulent créer leur monnaie commune, ce qui soulève la question délicate de la rupture avec l’Union économique et monétaire ouest-africaine, suscitant d’importantes préoccupations, notamment dans le secteur bancaire.
![Ecobank à Niamey, au Niger, le 21 décembre 2017. © LUDOVIC MARIN/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/02/29/jad20240229-eco-fitch-aes-uemoa.jpg)
Ecobank à Niamey, au Niger, le 21 décembre 2017. © LUDOVIC MARIN/AFP
La décision abrupte et unilatérale des trois États de l’Alliance des États du Sahel (AES) de se retirer de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) a semé la panique chez les investisseurs. Après cela, l’évocation par ces trois pays de la possibilité d’instaurer une monnaie commune, et donc d’abandonner le franc CFA arrimé à l’euro, soulève la délicate question de la
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