« Il y avait quoi avant ? » : au Cameroun, l’inventaire involontaire des années Biya

Alors que les élus et la société civile de l’Extrême-Nord dénonçaient l’état des infrastructures de la région, une réaction de Célestine Ketcha Courtès, ministre de l’Habitat et du Développement urbain, a aggravé la situation, provoquant l’emballement des réseaux sociaux.

Paul Biya en réunion avec Vladimir Poutine en marge  du deuxième sommet Russie-Afrique au centre de convention et d’exposition Expoforum. © Kirill Kukhmar/TASS/Sipa

Paul Biya en réunion avec Vladimir Poutine en marge du deuxième sommet Russie-Afrique au centre de convention et d’exposition Expoforum. © Kirill Kukhmar/TASS/Sipa

Publié le 10 mars 2024 Lecture : 3 minutes.

« Il y avait quoi avant ? » La phrase pourrait paraître anodine. Prononcée par Célestine Ketcha Courtès, ministre de l’Habitat et du Développement urbain, elle est pourtant devenue virale en quelques jours sur les réseaux sociaux camerounais. Pour quelle raison ? Tout commence le 6 septembre 2023, alors que le maire du premier arrondissement de Maroua, Hamadou Hamidou, écrit une lettre à la membre

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

Contenus partenaires