Fin des subventions au carburant : pourquoi l’Angola emboîte le pas au Cameroun, au Nigeria et au Congo
Le géant pétrolier lusophone répond à une demande de longue date du Fonds monétaire international, mais avance de façon très progressive pour limiter la contestation sociale.
![Une station Sonangol (la société nationale des carburants) à Luanda, Agola, le 12 novembre 2018. © Rodger BOSCH/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5007x0.5623/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/03/08/jad20240308-eco-angola-carburant.jpg)
Une station Sonangol (la société nationale des carburants) à Luanda, Agola, le 12 novembre 2018. © Rodger BOSCH/AFP
C’est un pas de plus vers la fin des subventions aux carburants en Angola. Élu en 2017 sur la promesse d’être « l’homme du miracle économique angolais », le président João Lourenço a pris le 7 mars un décret actant l’arrêt des exemptions accordées à certaines professions qui leur permettaient de bénéficier d’essence à un prix subventionné.
Au 30 avril, ces exonérations, octroyées notamment aux
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