Comment le Nigeria tente de concilier ramadan et flambée des prix
Avec une inflation alimentaire de plus de 35 %, le gouvernement nigérian prend des mesures extrêmes pour faire baisser les prix des denrées de base au démarrage du mois de jeûne musulman. Mais les experts estiment que l’insécurité croissante pourrait encore aggraver la situation.
![Prière de l’Aid al-Fitr, qui marque la fin du ramadan, à Lagos, Nigeria, le 21 avril 2023. © Emmanuel Osodi/Anadolu via AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/03/11/jad20240311-eco-tar-ramadan.jpg)
Prière de l’Aid al-Fitr, qui marque la fin du ramadan, à Lagos, Nigeria, le 21 avril 2023. © Emmanuel Osodi/Anadolu via AFP
Soucieux d’apaiser les tensions alors que le Nigeria est confronté à la pire crise du coût de la vie depuis des décennies, l’émir de Kano, Aminu Ado-Bayero, qui est également l’une des plus hautes figures musulmanes du pays, a appelé les commerçants à baisser les prix des denrées alimentaires. Par la suite, la police secrète du Nigeria, le Department of State Services (DSS), a publié un communiqué
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