Des soldats français participant à l’opération Turquoise lors d’une patrouille en juin 1994, croisant des troupes hutues des forces gouvernementales rwandaises s’entraînant avec des bâtons, près de Gisenyie. © MONTAGE JA : Pascal GUYOT/AFP
Des soldats français participant à l’opération Turquoise lors d’une patrouille en juin 1994, croisant des troupes hutues des forces gouvernementales rwandaises s’entraînant avec des bâtons, près de Gisenyie. © MONTAGE JA : Pascal GUYOT/AFP

[Série] Génocide des Tutsi au Rwanda : et soudain, l’horreur

C’était il y a 30 ans. Le 7 avril 1994, au lendemain de l’attentat ayant coûté la vie au président Juvénal Habyarimana, le Rwanda a basculé dans l’horreur du génocide. Témoignages, analyses, enquêtes… Jeune Afrique vous propose une plongée dans ses archives.

Publié le 11 mars 2024 Lecture : 1 minute.

Des soldats français participant à l’opération Turquoise lors d’une patrouille en juin 1994, croisant des troupes hutues des forces gouvernementales rwandaises s’entraînant avec des bâtons, près de Gisenyie. © MONTAGE JA : Pascal GUYOT/AFP
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Génocide des Tutsi au Rwanda : et soudain, l’horreur

Le 7 avril 1994, au lendemain de l’attentat ayant coûté la vie au président Juvénal Habyarimana, le Rwanda a basculé dans le génocide. Témoignages, analyses, enquêtes… Jeune Afrique vous propose une plongée dans ses archives.

Sommaire

Entre avril et juillet 1994, entre 800 000 et 1 million de personnes – des Tutsi dans leur grande majorité – ont été tuées au Rwanda. Un génocide commis à la machette, par des amis, des voisins, des collègues… Des hommes ordinaires qui, chaque jour, encadrés par les cadres d’un pouvoir adepte du « hutu power » et les terribles miliciens interahamwe, s’acquittaient de leur « travail » avec application et méthode.

Retour dans le passé

Le 7 avril 2024, le Rwanda commémorera le trentième anniversaire de ce crime de masse. À cette occasion, la rédaction de Jeune Afrique vous propose une plongée dans ses archives pour remonter le fil des événements.

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De l’attentat qui a coûté la vie au président Juvénal Habyarimana, le 6 avril 1994, au rôle de la France, accusée par certains de « complicité de génocide », en passant par le témoignage de rescapés des collines de Bisesero, où la force Turquoise a abandonné les populations qui tentaient d’y trouver refuge, ce retour dans le passé est aussi éprouvant que nécessaire.

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