Biram Dah Abeid : « Je n’ai jamais dit que Ghazouani était mon ami »
Arrivé deuxième à la présidentielle de 2019, le leader de l’IRA-Mauritanie est déterminé à battre le chef de l’État sortant dans les urnes, en juin. Et se pose comme son seul rival sérieux au sein d’une opposition divisée.
« Je ne crains personne. » Le regard est, comme toujours, perçant. En ce début de mars, Biram Dah Abeid, qui reçoit à son domicile de Nouakchott, souhaite rappeler à son visiteur qu’il demeure l’opposant intraitable qu’il estime avoir toujours été. Le seul, d’ailleurs, tant il se désolidarise de ses pairs afin de se poser aujourd’hui comme l’unique adversaire crédible du chef de l’État, Mohamed
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