Présidence de la BAD : l’intense lobbying d’Abbas Tolli, de Washington à Malabo

Adoubé par la Cemac en février, le candidat tchadien à la présidence de la BAD a entamé l’opération séduction auprès des actionnaires non régionaux et vient d’engranger deux soutiens de poids : l’Angola et la RDC. Coulisses.  

Abbas Mahamat Tolli, ancien gouverneur de la BEAC. © Fernand Kuissu pour JA

Abbas Mahamat Tolli, ancien gouverneur de la BEAC. © Fernand Kuissu pour JA

THAIS-BROUCK_2024

Publié le 14 mars 2024 Lecture : 2 minutes.

Le siège de la Banque africaine de développement (BAD) situé dans la commune du Plateau, à Abidjan. Le 1er novembre 2019. © ISSOUF SANOGO/AFP
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BAD : l’année de tous les enjeux

À moins d’un an de l’élection du nouveau président ou de la nouvelle présidente qui remplacera le Nigérian Akinwumi Adesina à la tête de la Banque africaine de développement (BAD), Jeune Afrique décrypte et analyse la feuille de route de l’institution pour les quatre années à venir. Stratégies, tractations, portraits, coulisses… Zoom sur les grands défis de ce futur rendez-vous.

Sommaire

Éclipsée par la réintégration du Gabon de Brice Clotaire Oligui Nguema, l’annonce est presque passée inaperçue. À Malabo, le 9 février, la conférence des chefs d’État et de gouvernement de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) a décidé de soutenir la candidature d’Abbas Mahamat Tolli pour la présidence de la Banque africaine de développement (BAD). « La conférence […]

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