« Spoliation » des biens immobiliers algériens à Rabat : le Maroc contre-attaque

Selon des documents exclusifs auxquels Jeune Afrique a eu accès, la procédure d’expropriation de locaux appartenant à l’ambassade d’Algérie au Maroc remonte à au moins deux ans et était, jusqu’à récemment, menée à l’amiable dans le cadre d’un possible échange avec des biens situés à Alger.

Le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, et Ahmed Attaf, son homologue algérien. © Montage JA : Fadel Senna/AFP;  Celal Gunes/Anadolu via AFP

Le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, et Ahmed Attaf, son homologue algérien. © Montage JA : Fadel Senna/AFP; Celal Gunes/Anadolu via AFP

FADWA-ISLA_2024

Publié le 19 mars 2024 Lecture : 3 minutes.

Comment comprendre la décision du Maroc d’exproprier des biens immobiliers inutilisés appartenant à l’ambassade d’Algérie à Rabat, qui crée une nouvelle polémique entre les deux voisins ? Faut-il y voir une « provocation » des autorités marocaines, conformément aux termes employés par le ministère des Affaires étrangères algérien dans un communiqué diffusé ce 17 mars ?

Dans un contexte de tensions

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

Zoubida Assoul, présidente de l’Union pour le changement et le progrès (UPC), entourée de Mohcine Belabbas (à g.), leader du RCD, et Ali Laskri, ancien membre de l’Instance présidentielle du Front des forces socialistes (FFS), le 10 octobre 2020, à Alger. © RYAD KRAMDI/AFP

En Algérie, quand Zoubida Assoul se rêve à El Mouradia

Contenus partenaires