Au Maroc, Baraka insubmersible malgré les polémiques au sein de l’Istiqlal
Deux affaires écornent l’accord sur l’organisation du 18e Congrès, auquel les membres du parti étaient difficilement parvenus. Le leadership de Nizar Baraka ne semble cependant pas contesté.
![Nizar Baraka, le secrétaire général de l’Istiqlal, au siège du parti, à Rabat, le 14 juillet 2021. © Naoufal Sbaoui pour JA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.3218x0.2700/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/03/19/jad20240319-mmo-maroc-istiqlal-nizarbaraka-photo2.jpg)
Nizar Baraka, le secrétaire général de l’Istiqlal, au siège du parti, à Rabat, le 14 juillet 2021. © Naoufal Sbaoui pour JA
L’union sacrée aura été éphémère, et l’unanimité n’aura duré que quelques instants. À la veille de son 18e congrès, prévu du 26 au 28 avril à Bouznika, l’Istiqlal, l’une des composantes de la majorité gouvernementale, est en ébullition. Si son actuel dirigeant, Nizar Baraka, bénéficie de la confiance des différentes factions du parti pour entamer un deuxième mandat, la base, elle, se déchire.
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