En RDC, Stanis Bujakera et le délit d’innocence, par François Soudan

Pour que cette page soit tournée, deux conditions restent à remplir : que l’acquittement pur et simple de notre collaborateur soit en définitive prononcé et que cette affaire serve d’exemple de ce qui ne devrait plus jamais se reproduire.

François Soudan, directeur de la rédaction. © Montage JA; Vincent fournier/JA

François Soudan, directeur de la rédaction. © Montage JA; Vincent fournier/JA

FRANCOIS-SOUDAN_2024

Publié le 21 mars 2024 Lecture : 3 minutes.

Sans doute faut-il avoir été en prison pour savoir ce qu’est la liberté. Cette sensation, cette certitude, Stanis Bujakera Tshiamala les racontera peut-être un jour, quand il aura soldé les miasmes d’un procès qui n’aurait jamais dû se tenir et l’injustice d’une condamnation qui n’aurait jamais due être prononcée.

Le temps des remerciements

Pour l’heure, Stanis est libre, c’est tout ce qui compte,

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