Le gazoduc Nigeria-Maroc à deux doigts d’une décision finale d’investissement
Évalué à 25 milliards de dollars, le mégaprojet qui doit traverser onze pays ouest-africains pour alimenter l’Europe en gaz, devrait obtenir un accord budgétaire au second semestre 2024.
![La directrice générale de l’ONHYM du Maroc, Amina Benkhadra, le représentant de la Cedeao, Sediko Douka, et le CEO de la NNPC, Mele Kyari après la signature du protocole d’accord pour la construction du gazoduc Maroc-Nigeria à Rabat, le 15 septembre 2022. © Jalal Morchidi/Anadolu via AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/03/21/jad20240321-eco-maroc-nigeria-gazoduc.jpg)
La directrice générale de l’ONHYM du Maroc, Amina Benkhadra, le représentant de la Cedeao, Sediko Douka, et le CEO de la NNPC, Mele Kyari après la signature du protocole d’accord pour la construction du gazoduc Maroc-Nigeria à Rabat, le 15 septembre 2022. © Jalal Morchidi/Anadolu via AFP
Long d’environ 6 000 kilomètres, le gazoduc Nigeria-Maroc Gas Pipeline (NMGP) s’apprête à franchir l’étape de la décision finale d’investissement (DFI), indispensable au lancement des travaux. Selon le patron de la Nigerian National Petroleum Corporation (NNPC), Mele Kyari – présent à Houston, aux États-Unis, en marge de la conférence CERAWeek (18 – 20 mars), la DFI sur le mégaprojet sera prise en
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