Présidence de la BAD : qui sont les prétendants à la succession d’Akinwumi Adesina ?

Après le Tchadien Abbas Mahamat Tolli, l’ancien économiste en chef de la Banque africaine de développement, l’Algérien Rabah Arezki, prépare sa candidature et n’attend plus que le feu vert d’Alger. Mais il risque d’être confronté à d’autres profils de taille.

Akinwumi Adesina (ici en mai 2022 à Accra), actuel président de la BAD, verra son second mandat terminer en 2025. © Nipah Dennis / AFP.

Akinwumi Adesina (ici en mai 2022 à Accra), actuel président de la BAD, verra son second mandat terminer en 2025. © Nipah Dennis / AFP.

ESTELLE-MAUSSION_2024

Publié le 26 mars 2024 Lecture : 3 minutes.

Le siège de la Banque africaine de développement (BAD) situé dans la commune du Plateau, à Abidjan. Le 1er novembre 2019. © ISSOUF SANOGO/AFP
Issu du dossier

BAD : l’année de tous les enjeux

À moins d’un an de l’élection du nouveau président ou de la nouvelle présidente qui remplacera le Nigérian Akinwumi Adesina à la tête de la Banque africaine de développement (BAD), Jeune Afrique décrypte et analyse la feuille de route de l’institution pour les quatre années à venir. Stratégies, tractations, portraits, coulisses… Zoom sur les grands défis de ce futur rendez-vous.

Sommaire

C’est un prétendant de plus dans une course à la succession qui ne fait que commencer. Si le second mandat du Nigérian Akinwumi Adesina aux commandes de la Banque africaine de développement (BAD) ne prendra fin que l’an prochain, les candidats à la relève, qui devront déposer leur dossier entre septembre 2024 et la fin de janvier 2025, se multiplient. Après l’annonce, à la mi-mars, de la

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

Dans le même dossier