Au Maroc, faut-il s’attendre à une année blanche en médecine ?
Plus de trois mois après le début du bras de fer entre les étudiants en médecine et le gouvernement, aucune solution ne semble se profiler, si bien que c’est toute l’année universitaire qui semble menacée.
Les futurs médecins marocains donnent le tournis à leurs deux autorités de tutelle, le ministère de l’Enseignement supérieur et le ministère de la Santé. Le royaume compte près de 24 000 étudiants dans la discipline, répartis entre les neuf facultés de médecine publiques (Rabat, Casablanca, Marrakech, Fès, Oujda, Tanger, Agadir, Laâyoune et Guelmim), qui ont décidé, mi-décembre 2023, d’entamer un
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