Comment l’affaire de la « spoliation » des biens immobiliers algériens à Rabat a fait pschitt

Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a déclaré que le dossier d’expropriation, venu envenimer une fois de plus les relations entre l’Algérie et le Maroc, était clos. Comment est-on passé de la crise à l’apaisement ? Éléments de réponse.

Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, le 26 mars 2024. © APP / NurPhoto via AFP

Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, le 26 mars 2024. © APP / NurPhoto via AFP

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Publié le 28 mars 2024 Lecture : 3 minutes.

L’affaire de la « spoliation » des biens immobiliers appartenant à l’ambassade d’Algérie à Rabat semble partie pour se terminer en queue de poisson. Après s’être fendu, le 17 mars, d’un communiqué aux termes virulents dans lequel il accuse le Maroc de « violation inqualifiable du respect et du devoir de protection à l’égard des représentations diplomatiques d’États souverains que sanctuarisent

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