Journaliste décapitée au Cameroun : l’enquête s’oriente vers un drame familial
Sylvie Louisette Ngo Yebel, ancienne journaliste et communicante, a été retrouvée morte et mutilée le 7 avril en plein cœur de Yaoundé. Le secrétariat d’État à la Défense, chargé de l’enquête, privilégie la thèse du crime au sein de la famille.
![Le Réseau des communicateurs pour l’environnement et l’information en Afrique centrale (Receiac), dont faisait partie Sylvie Louisette Ngo Yebel, a publié un communiqué de presse condamnant fermement cet assassinat. © Twitter](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5864x0.3211/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/04/11/jad20240411-ass-sylvie-louisette-ngo-yebel.jpg)
Le Réseau des communicateurs pour l’environnement et l’information en Afrique centrale (Receiac), dont faisait partie Sylvie Louisette Ngo Yebel, a publié un communiqué de presse condamnant fermement cet assassinat. © Twitter
Le 7 avril, à 8 h 30, Sylvie Louisette Ngo Yebel était retrouvée morte dans le quartier Elig-Edzoa, à Yaoundé. Cette journaliste de formation avait été enlevée la veille dans la soirée. Mariée et vivant dans le quartier Odza de la capitale du Cameroun, elle était chargée de communication au sein du secrétariat exécutif de la Commission des forêts d’Afrique centrale (Comifac).
Quelques jours après
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