Pourquoi la BEAC refuse d’augmenter les salaires de ses dirigeants
Un rapport du comité des rémunérations de la Banque centrale suggérant une hausse des émoluments des membres du gouvernement – à l’exception du gouverneur – vient d’être retoqué par le conseil d’administration. Explications.
![Siège de la Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC), à Yaoundé, au Cameroun. © Photo12/Alamy/jbdodane](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/04/15/jad20240415-eco-conf-beac-restriction-budget.jpg)
Siège de la Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC), à Yaoundé, au Cameroun. © Photo12/Alamy/jbdodane
Voir leurs salaires revalorisés était l’espoir des cadres du gouvernement de la Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC), après que le Centrafricain Yvon Sana Bangui a été nommé à la tête de l’institution bancaire le 9 février dernier. Celui-ci a succédé au Tchadien Abbas Mahamat Tolli, auquel il a été reproché d’avoir favorisé une politique de coupe budgétaire pendant son mandat à la tête de
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