L’Angola joue serré pour rembourser sa dette à la Chine

Le géant pétrolier lusophone figure parmi les plus importants débiteurs africains de Pékin. Une position qui place le président angolais, João Lourenço, sous pression.

Le président chinois, Xi Jinping, et le président angolais, João Lourenço, se serrent la main avant leur rencontre au Grand Hall du Peuple, à Pékin, le 15 mars 2024. © CHINA DAILY via REUTERS

Le président chinois, Xi Jinping, et le président angolais, João Lourenço, se serrent la main avant leur rencontre au Grand Hall du Peuple, à Pékin, le 15 mars 2024. © CHINA DAILY via REUTERS

ESTELLE-MAUSSION_2024

Publié le 12 avril 2024 Lecture : 3 minutes.

La bataille de la dette est loin d’être gagnée en Angola. C’est ce que souligne l’agence de notation S&P Global Ratings (ex-Standard & Poor’s) dans une note du 11 avril. Certes, le pays, deuxième producteur de pétrole du continent derrière le Nigeria, est jugé en capacité de rembourser ses créances, notamment à la Chine, sur les deux prochaines années. Mais, pour ce faire, il va devoir jouer serré

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