Le boycott, nouvel outil anti-inflation en Algérie et en Tunisie

D’Alger à Tunis, le débat sur la hausse générale des prix se cristallise autour de la flambée du cours de la banane. Les autorités tardent pourtant à s’attaquer aux racines du mal.

Sur le marché de Bab el-Oued, à Alger.

Sur le marché de Bab el-Oued, à Alger.

MAHER-HAJBI_2024

Publié le 13 avril 2024 Lecture : 2 minutes.

« On n’en mange pas ! » Sur un ton ferme, Tayeb Zitouni, le ministre algérien du Commerce et de la Promotion, a lancé un appel au boycott pour lutter contre la flambée du prix de la banane en Algérie. En déplacement sur le terrain, le 10 avril, premier jour de l’Aïd-el-fitr, il a demandé aux citoyens d’aider les autorités à « faire au moins baisser » ce prix-là.

À Alger comme à Tunis, le boycott

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