Le boycott, nouvel outil anti-inflation en Algérie et en Tunisie
D’Alger à Tunis, le débat sur la hausse générale des prix se cristallise autour de la flambée du cours de la banane. Les autorités tardent pourtant à s’attaquer aux racines du mal.
![Sur le marché de Bab el-Oued, à Alger.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/04/12/jad20240412-eco-algerie-tunisie-inflation-boycott.jpg)
Sur le marché de Bab el-Oued, à Alger.
« On n’en mange pas ! » Sur un ton ferme, Tayeb Zitouni, le ministre algérien du Commerce et de la Promotion, a lancé un appel au boycott pour lutter contre la flambée du prix de la banane en Algérie. En déplacement sur le terrain, le 10 avril, premier jour de l’Aïd-el-fitr, il a demandé aux citoyens d’aider les autorités à « faire au moins baisser » ce prix-là.
À Alger comme à Tunis, le boycott
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