Au Maroc, les socialistes renoncent à leur motion de censure
Snobé par les partis d’opposition, chahuté en interne, le premier secrétaire socialiste, Driss Lachgar, a raté son coup politique. Retour sur sa fronde lancée contre le gouvernement et sur les raisons de son échec.
Le rêve de l’Union socialiste des forces populaires (USFP) de renverser la majorité du chef de gouvernement, Aziz Akhannouch, s’est vite évaporé. Et ce avant même que sa motion de censure ne soit soumise au Parlement.
Premier parti d’opposition avec 34 sièges sur 395, l’USFP devait rallier à sa cause un cinquième des élus de la chambre basse (soit 78 députés). Au final, aucune formation ciblée
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