Au Maroc, les socialistes renoncent à leur motion de censure
Snobé par les partis d’opposition, chahuté en interne, le premier secrétaire socialiste, Driss Lachgar, a raté son coup politique. Retour sur sa fronde lancée contre le gouvernement et sur les raisons de son échec.
Le rêve de l’Union socialiste des forces populaires (USFP) de renverser la majorité du chef de gouvernement, Aziz Akhannouch, s’est vite évaporé. Et ce avant même que sa motion de censure ne soit soumise au Parlement.
Premier parti d’opposition avec 34 sièges sur 395, l’USFP devait rallier à sa cause un cinquième des élus de la chambre basse (soit 78 députés). Au final, aucune formation ciblée
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Déjà abonné ?
Connectez-vous
la suite après cette publicité
Les plus lus – Politique
- À Casablanca, la Joutia de Derb Ghallef en voie de réhabilitation
- Mali : ce que l’on sait de la disparition de Daouda Konaté
- En RDC, la nouvelle vie à la ferme de Fortunat Biselele
- Présidentielle en Côte d’Ivoire : la compagne de Tidjane Thiam sort de l’ombre
- Présidentielle en Côte d’Ivoire : la stratégie anti-fake news d’Alassane Ouattara